[N° 536] - Nouveau dossier de diagnostic technique : Quoi de neuf depuis le 1er novembre 2007 ?

par Maud PHILIBERT
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Loi Carrez, diagnostic plomb, amiante, termites, installation gaz et électricité, état des risques naturels et technologiques…
Depuis le 1er novembre 2007,  un seul dossier appelé "dossier de diagnostic technique" nouveau regroupe les états, constat et diagnostics que le vendeur doit fournir aux fins de l’annexer "à la promesse de vente",  "promesse" ou compromis".

C’est également depuis cette date, que la profession de diagnostiqueur est réglementée puisque celui-ci doit depuis le 1er novembre justifier d’une certification au Cofrac, Comité français d’accréditation pour exercer son activité.

Diagnostic termite

Maud PHILIBERT

À lire

[N° 537] - Toitures terrasses et toitures végétalisées zoom sur les différentes techniques

par Maud PHILIBERT
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On distingue deux grandes familles de toitures : les toitures-terrasses et les toitures en pente (simples, doubles ou multiples). La toiture-terrasse est protégée par une étanchéité composée essentiellement d’un isolant et d’un complexe d’étanchéité simple ou multicouche.
Si vous transformez un toit en toit-terrasse dans un immeuble collectif vous devez obligatoirement obtenir l’accord de votre copropriété et faire une demande de permis de construire. La question de l’entretien et de l’étanchéité de la toiture-terrasse étant relativement technique, nous avons demandé à Lise BOUSSERT Déléguée Technique de la Chambre Syndicale Française de l'Etanchéité (CSFE) de répondre à nos questions.
Explications.

 

Maud PHILIBERT

À lire

[N° 544] - Entretien et rénovation des copropriétés classées

par Paul TURENNE
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Si posséder un bien au sein d'une copropriété classée ou inscrite comporte des avantages, notamment en terme de fiscalité, cela apporte aussi un certain nombre de contraintes. Le point sur les obligations réglementaires de ces propriétés particulières.

À lire

[N° 538] - Hygiène des parties communes & tri sélectif : quels sont les enjeux de demain ?

par Maud PHILIBERT
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Évolution des modes de vie et de consommation vers davantage de mobilité et d'achats individuels, nouvelles habitudes alimentaires, croissance démographique, etc. : nous produisons chaque jour plus de déchets ménagers. La production d'ordures ménagères atteint aujourd'hui 360 kilos par an et par habitant, soit 2 fois plus qu'il y a 40 ans !
L’Ademe multiplie les campagnes de communication affichant préceptes et conseils pour éviter que nos poubelles, et du même coup nos porte-monnaie ne débordent.
L’enjeu est environnemental, mais présente aussi des impacts économiques non négligeables :
certes nos poubelles en habitat collectif sont le plus souvent communes. Pourtant, la facture finale prise en compte est quant à elle, individuelle. Quelques rappels et des explications.

Maud PHILIBERT

À lire

[N° 539] - Confort d’été : Vers une climatisation écologique

par Maud PHILIBERT
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Comment concilier confort thermique, économies d’énergie tout en respectant l’environnement ?
Pour rafraîchir l’air, quelques solutions de bon sens mais aussi des solutions techniques, architecturales ou de construction existent dans une logique de développement durable.
Réchauffement climatique, pics de canicule, augmentation du coût des énergies… Autant de facteurs dont il faut pouvoir tenir compte alors que le secteur du bâtiment représente 46 % de la consommation énergétique nationale et 25 % des rejets de CO2.

Maud PHILIBERT

 

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[N° 540] - Gardien concierge : un métier en voie de disparition ?

par Maud PHILIBERT
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L'historien Jean-Louis Deaucourt indique que le “concierge” également nommé “portier” ou “suisse” est apparu très tôt dans la littérature du Moyen-Âge indiquant ainsi sa présence dès cette époque, présence qui s'est perpétuée jusqu'à nos jours.
Si le concierge a, de tout temps appartenu à la vie de l’immeuble, force est de constater aujourd’hui sa disparition progressive.
Encore que les copropriétés aient de nouveau tendance à se réapproprier la vocation sociale de celui qu’on pourrait appeler le “chef d’orchestre” non seulement des parties communes mais aussi de la vie sociale qu’il maintient dans les lieux.

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[N° 540] - Immeubles accessibles à tous

par Pascal MAES
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En ce qui concerne des immeubles d’habitation, l’objectif de la loi est de généraliser leur accessibilité en construction neuve et lors de travaux réhabilitation supérieurs à 80 % de la valeur du bâtiment. Les aménageurs et architectes doivent préserver la continuité des déplacements entre l’extérieur et l’intérieur et à l’intérieur des logements et faciliter tous les gestes quotidiens notamment dans les parties communes : ouvrir et fermer la porte d’entrée, prendre l’ascenseur, monter et descendre l’escalier, différencier et utiliser les différents boutons-poussoirs, etc.   Ces précautions vont bénéficier aussi bien aux occupants de
l’immeuble qu’à leurs visiteurs handicapés ou vieillissants. De même, les dimensions recommandées pour l’usage d’un fauteuil roulant seront appréciées dans différentes situations de la vie courante : bagages, poussettes, livraison …. La conception et l’aménagement des abords extérieurs et des parties communes des immeubles vont par conséquent être appréhendés différemment, tout comme l’intérieur des appartements.      

À lire

[N° 571] - Ascenseurs : Le plan de modernisation suit son cours

par Paul TURENNE
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Alors que la deuxième échéance des travaux de mise en sécurité des ascenseurs de la loi SAE s’approche à grand pas, le bilan à mi-parcours est plutôt positif. Le point sur les obligations réglementaires et le point sur les innovations disponibles sur le marché.

Paul TURENNE

 

À lire

[N° 541] - Ascenseurs : un nouveau délai pour leur mise en sécurité

par Pascal MAES
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Le décret du 28 mars 2008 a reporté la date butoir de la première tranche des travaux de mise en sécurité des ascenseurs du 2 juillet 2008 au 31 décembre 2010. L’allongement de ce délai a pour but de permettre aux professionnels de prendre le temps de recruter et de former des techniciens, aux copropriétés de réaliser un diagnostic, de prévoir les travaux éventuels d’un point de vue pratique et financier. En aucun cas, une copropriété ne doit arrêter le processus en cours, sous peine de se retrouver face aux mêmes difficultés dans un ou deux ans.

Pascal MAES

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[N° 542] - Énergies : à qui s’adresser ?

par Pascal MAES
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Avec l’ouverture à la concurrence du marché de l’énergie, GDF et EDF ont perdu leur statut de monopole.

Depuis le 1er juillet 2004, les syndicats de copropriété et depuis le 1er juillet 2007 tous les particuliers peuvent ainsi faire appel à d’autres
fournisseurs d’énergie. Les nouveaux opérateurs sont encore rares. Syndics et copropriétaires hésitent à quitter les fournisseurs d’énergie “historiques” et à se laisser séduire par les offres aux tarifs attractifs de leurs concurrents. Le peu de visibilité de l’évolution des tarifs réglementés et déréglementés dans le temps en est principalement la cause.   

Pascal MAES

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