Études juridiques
Copropriété : La copropriété face aux troubles anormaux de voisinage
- par Sophie Michelin-Mazeraux, Journaliste juridique
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Copropriété : Règles de majorité et passerelles en graphiques
- par Guilhem GIL - Maître de conférences à Aix-Marseille Université
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Copropriété : Les contours de l’autorisation du syndic d’agir en justice
- par Jérôme HOCQUARD, Avocat au Barreau de Paris
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Copropriété : La responsabilité des membres du conseil syndical
- par Colette Chazelle - Avocat au barreau de Lyon
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Copropriété : La délégation conventionnelle au profit du conseil syndical
- par David Rodrigues, Juriste à l’association Consommation, Logement et Cadre de Vie (CLCV)
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Copropriété : L’opposition du syndicat des copropriétaires, modes d’emploi
- par Camille IVARS, Avocat au barreau de Paris
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Aux sources de la copropriété
- par Thierry POULICHOT - directeur des Garanties Citoyennes
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Copropriété : Véhicules électriques et copropriété
- par Olivier BEDDELEEM - Professeur adjoint, EDHEC Business School
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Copropriété versus association syndicale libre : Entre confusion et incompréhension
- par Jean-Marc LE MASSON, Avocat au barreau de Nantes, Maître de conférences à l'Université de Nantes
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S’il est un sujet rebattu par la doctrine c’est bien celui de la distinction, qu’il est impératif d’opérer, entre le statut de la copropriété et le régime de l’association syndicale libre, autre principal système de gestion des parties de communauté d’un ensemble immobilier.
Pourtant, force est de constater que nombre de professionnels de la gestion immobilière, généralement syndics de copropriété, administrent les associations syndicales qui leur sont confiées en y appliquant le statut de la copropriété. Les conséquences d’une telle méprise peuvent s’avérer désastreuses lorsque le litige survient et il est de ce fait tout particulièrement utile de revenir une nouvelle fois, même rapidement et sans prétendre à l’exhaustivité, sur la nécessaire césure entre ces modes d’organisation de la propriété collective.
Ce regard est d’autant plus utile maintenant que l’ordonnance du 30 octobre 2019 a réécrit l’article 1er de la loi du 10 juillet 1965, permettant à «tout immeuble ou groupe d’immeubles bâtis à destination totale autre que d’habitation» d’éviter la soumission au statut de la copropriété par l’adoption d’un mode de gestion différent, dont l’association syndicale libre constituera l’alternative la plus fréquente.
Un premier piège tient à la naissance de la personne morale qu’est le syndicat des copropriétaires en réception des dispositions de l’article 14 de la loi du 10 juillet 1965, et celle de l’association syndicale à laquelle l’article 2 de l’ordonnance du 1er juillet 2004 confère la même qualité. Mais le danger le plus redoutable se situe indubitablement dans le fonctionnement, très souvent croisé par les praticiens, de ces deux institutions.
Article paru dans les Informations Rapides de la Copropriété numéro 665 de janvier-février 2021
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Copropriété : Parties communes et charges spéciales (partie 2)
- par Guilhem GIL - Maître de conférences à Aix-Marseille Université
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