Copropriété : Comment améliorer l'étiquette énergétique ? - L’étiquette énergétique

par Nathalie Levray, Journaliste
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L’étiquette énergétique

Guide à destination des diagnostiqueurs, Céréma, ministère de la Transition Écologique

Le diagnostic de performance énergétique (DPE) est synthétisé au moyen de deux étiquettes, comportant chacune sept classes de A à G (A correspondant à la meilleure performance, G à la plus mauvaise). L’étiquette énergie renseigne sur la consommation d’énergie primaire, en kWhEP/m²/an ; l’étiquette climat, sur la quantité de gaz à effet de serre associée, en kgéqCO2/m²/an. Le classement énergétique est donc équivalent à un double classement dont l’étiquette finale correspond au plus mauvais des deux classements. Cinq usages sont scrutés : le chauffage, l’eau chaude sanitaire, le refroidissement, l’éclairage et les appareils auxiliaires.

Le DPE recommande les travaux à réaliser et permet d’estimer les charges énergétiques d’un logement. Il est pleinement opposable depuis le 1er juillet 2021. Ainsi toutes les données utilisées pour le réaliser doivent-elles être justifiées par le propriétaire et par le diagnostiqueur lequel fournit l’ensemble des relevés effectués. Conserver les preuves des travaux réalisés à valoriser dans le DPE est ainsi fondamental. Les recommandations de travaux contenues dans le DPE n’ont, elles, qu’une valeur indicative.

Source : Guide à destination des diagnostiqueurs, Céréma, ministère de la Transition Écologique