Fournisseurs d’énergie, de fluides, sociétés de nettoyage, de dépannage… Nombreux sont les fournisseurs à intervenir en copropriété. Des interventions qui nécessitent le respect de règles… et la vigilance des copropriétaires pour faire des économies. État des lieux.
un «non-professionnel» qui peut bénéficier des mêmes protections
Fuite d’eau importante, contrôle d’accès bloqué, problèmes électriques… Autant de situations qui peuvent poser problème si elles surviennent en dehors des horaires d’ouverture du cabinet de syndic. Le conseil syndical n’a dès lors qu’une solution : faire intervenir un professionnel en urgence. Mais mieux vaut avoir anticipé car les entreprises joignables en soirée et le week-end ne sont pas majoritaires.
À retenir
> Les travaux de maintenance définis à l’article 45 du décret du 17 mars 1967 ne font pas l’objet de délibérations particulières de l’assemblée générale et sont approuvés globalement dans le vote du budget prévisionnel annuel.
> Les travaux autres que de maintenance doivent être décidés par l’assemblée générale statuant à la majorité simple de l’article 24 de la loi du 10 juillet 1965.
> L’assemblée générale doit arrêter, à la majorité absolue, un montant des marchés et des contrats à partir duquel une mise en concurrence est obligatoire.