Sujet récurent, presque “classique “, les troubles de voisinage trouvent dans la copropriété leur terrain d’élection du simple fait de la proximité et du regroupement des occupants de l’immeuble. Un tel environnement est propice à la manifestation de toutes sortes de gênes causées par les activités de chacun. L’application de la théorie des troubles de voisinage dans le cadre d’une copropriété revêt parfois certaines spécificités qu’il est intéressant de mettre en lumière.