L’assemblée générale des copropriétaires est-elle soumise à un devoir de constance qui lui interdirait de revenir sur une décision qu’elle aurait précédemment adoptée ou, à l’inverse, faut-il admettre qu’en sa qualité d’organe délibérant du syndicat, elle peut librement défaire ce qu’elle avait pu antérieurement faire ?