La copropriété n’était dotée d’aucune organisation collective jusqu’à la loi du 28 juin 1938 et il a fallu attendre 1960 pour que la jurisprudence de la Cour de cassation reconnaisse la personnalité morale au syndicat des copropriétaires, comme à tout groupement possédant des droits et des obligations. La question de la disparition du syndicat n’a donc pu se poser qu’à partir de ce moment.