Billet d'Alain | La certification, remède à la mauvaise imagine ?

par Alain PAPADOPOULOS, Secrétaire général de l'association QualiSR
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On ne va pas se mentir : la profession de syndic est à la peine dans l’opinion, et ni les groupes, ni les «nouveaux entrants» n’ont vraiment changé son image dans le grand public, ni permis de mieux comprendre ce métier. Vus comme des machines à facturer à tout bout de champ plus qu’à délivrer un réel service, perçus de plus en plus comme des commerçants et de moins en moins comme une «profession» responsable, ceux qui se sont investis dans cette spécialité exigeante et à la rentabilité serrée se sentent démunis sur les moyens d’améliorer la confiance du client et l’appréciation du service rendu. L’incantation, le déclaratif, la digitalisation à outrance et le marketing, à l’évidence, ne suffisent pas.  Il y va de l’attractivité du métier, de sa capacité à recruter des jeunes diplômés et de se faire rémunérer sa prestation à sa juste valeur.

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