[N°655] - La copropriété, un terreau fertile pour la médiation

par Sophie MICHELIN-MAZÉRAN - Journaliste juridique
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Aller plus vite, plus fort, plus loin, telle est l’ambition de la médiation qui permet aux parties de résoudre leur conflit en allant vers la solution qu’elles ont choisie, sans passer par le juge.
Ce processus amiable alternatif au contentieux judiciaire gagne du terrain dans tous les secteurs d’activité, y compris celui de la copropriété, d’autant qu’il est soutenu par les pouvoirs publics.
Depuis le 1er janvier 2020, la tentative préalable obligatoire de résolution amiable est ainsi étendue à certains litiges, avant toute saisine du juge. Comment s’organise le processus de médiation, quels sont ses bienfaits et éventuels écueils en copropriété ?

Une étude complète en 20 questions pour aider les syndics, syndicats, copropriétaires ou encore avocats, à y voir plus clair.

À lire

[N°653] - Maîtriser les frais de chauffage en copropriété

par Paul Turenne, journaliste
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Alors que le chauffage représente 66 % des consommations d’énergie dans l’habitat, l’optimiser apparaît comme une nécessité pour limiter les frais, sans même parler de l’intérêt environnemental pour tout un chacun… Le point sur les solutions existantes et les bonnes pratiques pour concilier confort, économies et écologie à l’approche de l’hiver.

À lire

[N°652] - Adapter l’immeuble au vieillissement de ses occupants

par Sophie MICHELIN-MAZÉRAN, journaliste
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La France vieillit.

Ce phénomène, bien connu, convoque dans son sillage le sujet de la perte d’autonomie des personnes âgées qui concerne chaque famille.
Et faut-il le rappeler, le «bien vieillir» à domicile correspond à une attente prioritaire de nos aînés, récemment mise en lumière lors de la concertation citoyenne «Grand âge et autonomie».
Ces évolutions majeures de la société sur le plan démographique et sociétal nécessitent d’apporter de nouvelles réponses dans la conception et la gestion des immeubles en copropriété, que les pouvoirs publics entendent aujourd’hui accompagner.

N’en déplaise au Général, la vieillesse n’est pas forcément un naufrage.

À lire

[N°651] - Financer des travaux en copropriété : Un chantier accessible à tous

par Sophie MICHELIN-MAZERAN, journaliste
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Parce qu’ils sont vécus comme complexes et coûteux, les gros travaux en copropriété sont généralement subis, plutôt que réalisés de façon volontaire et anticipée. Pourtant, plusieurs leviers sont mobilisables pour accompagner le passage à l’acte des travaux, alléger la facture et étaler les dépenses dans le temps.

Parmi les aides disponibles, se trouvent pêle-mêle des subventions, des avantages fiscaux, des prêts collectifs ou individuels. Sans oublier les ressources propres de la copropriété ou encore le recours à des outils contractuels.

Au final, le reste à charge par copropriétaire peut se révéler modique.

La preuve en cinq points.

À lire

[N°649] - L’entretien des fenêtres et balcons en copropriété

par Paul TURENNE
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L’isolation des façades d’un bâti reste primordiale et permet d’obtenir d’excellents résultats en matière de performances énergétiques. Toutefois, il ne faut pas sous-estimer les effets positifs d’un changement d’ouvrants, a fortiori dans le cadre d’une rénovation globale, et, dans une moindre mesure, de la rénovation des balcons, peu évidente. Conseils de mise en œuvre.

À lire

[N°648] - Les outils numériques de la copropriété

par Paul TURENNE
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Après le tout-papier, puis l’arrivée des logiciels “en dur” souvent difficiles à prendre en main et parfois “usines à gaz”, la gestion numérique des copropriétés est désormais entrée dans une nouvelle ère.

Le développement de solutions 100 % web et une nette amélioration de l’ergonomie permettent aujourd’hui de doper la productivité des professionnels de l’immobilier.

À lire

[N°647] - Surélévation : quand les copropriétés prennent de la hauteur

par Paul TURENNE
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Si la surélévation des immeubles en copropriété n’a rien de nouveau, son intérêt n’en est que plus grand aujourd’hui : limitation des déperditions d’énergie par le toit, emprise au sol minimisée, apports financiers pour les copropriétaires…

Autant d’avantages qui ont poussé le législateur à faciliter les travaux de surélévation. Ces derniers n’en demeurent pas moins des opérations complexes à mettre en œuvre. D’où l’importance de co-construire ce type de projets en étroite concertation avec tous les acteurs pour espérer les voir aboutir… et éviter les mauvaises surprises.

Suivez le guide !

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[N°646] - Rénovation énergétique : CITE et RGE, deux dispositifs à connaître

par Sophie Michelin-Mazéran, journaliste - rédactrice spécialisée
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À l’instar des précédentes lois de finances, la rénovation énergétique des logements continue d’être accompagnée fiscalement, notamment via le crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE). Après des mois de valse-hésitation, le gouvernement a finalement décidé de reconduire pour 2019 cet avantage fiscal, bien connu des particuliers et des syndics. Sa transformation en prime, annoncée mais non réalisée, attendra 2020. Un autre dispositif, en lien avec le CITE, est en cours de révision. Il s’agit de la mention RGE («Reconnu Garant de l’Environnement»). Ce signe de qualité permet d’identifier un professionnel compétent pour mener des travaux d’économie d’énergie. Surtout, le recours à une entreprise RGE est devenu obligatoire pour pouvoir bénéficier de différentes aides publiques, dont le CITE.

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[N°644] - Syndic bénévole : (bien) gérer sa copropriété

par Julie Hainaut - Journaliste
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Peu coûteux, convivial, rapide, efficace… Le syndic bénévole séduit de plus en plus de copropriétés.
S’il se distingue du syndic professionnel sur bien des plans, il partage avec celui-ci quelques similitudes et doit suivre des règles bien précises.

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[N°643] - Savoir lire le contrat d’assurance de la copropriété

par Par Sophie MICHELIN-MAZERAN, rédactrice spécialisée
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La lecture d’un contrat d’assurance, composé de conditions générales, de conditions particulières, voire d’annexes, relève bien souvent du casse-tête chinois.

Sans compter l’usage habituel de termes abscons dans la police d’assurance que seuls les initiés maîtrisent. L’assurance de la copropriété, souscrite au nom du syndicat des copropriétaires par le syndic, n’échappe pas à cette règle.

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